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9 janvier 2011 7 09 /01 /janvier /2011 21:19

bien , voilà moi je travail dans les abattoirs depuis plus de 40 ans et je ne me suis jamais fais à la cruauté sur l'abattage des chevaux, non seulement par le personnel poussé à des cadences maximun pour toujours aller plus vite.

 

Je garanti que les vieilles images d'abattages sont toujours bien réelle. Pas le temps d'attendre la mort définitve pour couper les pattes avants, insiser le cuir pour la saignée thoraciques( couteau dans le coeur) pour une saignée plus rapide, souvent mal réussi et souvent effecteur par des intérimaires n'ayant pas d'expériences.Dépouille  de la parti de la tête et découpe du museau avec souvent l'animal encore conscient .Devant ce quotidien , devant la pression  subit bien souvent sur les services sanitaires (  préposer effectuant le travail sur les chaines) ne peuvent pas faire respecter les règles d'abattages prescrit dans le code, qui précise bien les règles pour obtenir une mort dans des conditions acceptables.

 

Donc par conséquent, tant que le monde ne prendra pas concience et ne boycoteront la viande de cheval , animal sensible qui doit toujours être abattu en arrivant et non de traîner des heures en bouverie ce qui le stresse encore plus afin d'otenir des conditions de trépanation ( pistoler matador, cach)  correcte, que la filière chevaline devra prendre son mal en patience.

 

Voilà la réalité de l'abattage des chevaux en 2011, j'invite le consommateur à aller dans les abattoirs, visité  ce qui est un droit non refusable en acceptant de prendre une tenue conforme à l'hygiène du lieu et se faire après sa propre opinion sur le faux du réelle et se dire je peu manger du cheval ou pas.

 

ceci  est une réponse fasse à un article d'une journaliste que j'ai lu sur RTL et qui nous vente les mérite de l'hypophagie

 

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